Pionnière dans le domaine des arts numériques, Vera Molnar conjugue séries et combinatoires.
À l’aide de règles simples, les motifs sériés se répètent, se décalent, s’altèrent. Lignes, formes, courbes, entrelacs, couleurs se déploient ainsi à l’infini, sur de multiples supports.
En parallèle de l'exposition au Musée de beaux-arts, Oniris présente «La ligne n'a pas de fin» qui rassemble des œuvres récentes et d'autres plus anciennes, toutes inédites, dans les deux espaces de la galerie.
Les ouvrières de l'Aigle, les dentellières de Calais et les caissières de Margon. La photographe Olivia Gay tente de redonner un visage, une humanité, à ces visages anonymes d'opératrices que l'on ne voit habituellement pas.
Photographe autodidacte, Madeleine de Sinéty (1934-2011) découvre par hasard durant l’été 1972 le village de Poilley, situé au nord de l’Ille-et-Vilaine. Se liant d’amitié avec plusieurs familles, elle les photographie inlassablement au travail et dans leur vie quotidienne.
Ah ! La persistance rétinienne ! C’est sur ce principe que fonctionne le flip-book. Co-produite par le festival Normandiebulle 2009 de Darnétal, cette exposition explique de façon humoristique comment fabriquer facilement son propre flip-book et pouvoir ainsi briller dans les diners mondains.
Le travail de François Fontes Abrantes est une œuvre poétique qui interroge la face cachée des arbres. Le photographe questionne notre perception de la réalité et notre sensibilité et pose sur la nature un regard tendre. Exposition plein air dans le cadre de Verdoyons, cycle d'événements sur l'écologie à l'université Rennes 2.
Lieu : Campus Villejean - Université de Rennes 2, Rennes
Art contemporain
I sing in silence
L’artiste Manon Couët façonne de nouveaux univers à travers la technique du collage. Ses créations sont intimement inspirées par des écoutes musicales, notamment de rock indépendant.
Au travers d’une sélection de 10 artistes contemporains français et étrangers, cette exposition revisite l’imaginaire tant lié à l’Opéra qu’aux débuts des technologies de l’enregistrement au 19e siècle et envisage le chant comme une technologie du corps, et l’enregistrement comme une technologie de la voix.
À l’occasion du premier rendez-vous des Rencontres photographiques de ViaSilva OFF, découvrez le travail de Valentin Béru. Le jeune photographe s’est pris de passion pour ViaSilva en 2019. Il a entrepris une documentation du chantier en se concentrant sur la transformation de ce territoire.
Le voile du palais propose d’explorer le rapport entre voix et technologie, qu’elle soit organique ou mécanique. Il s’agit de considérer la voix comme technologie du corps et, en partant de la part d’artificialité résidant dans ce qui semble le plus naturel, l’enregistrement et l’amplification comme technologie de la voix.