Ombre, lumière. Lumière, ombre. Tout évolue rapidement. Les lignes de lumière fuient vers l’infini. Le monument devient un espace de jeu pour la technologie, et sa grandeur ajoute une force à l’expérience.
C’est une recherche autour de la matière lumineuse augmentée par l’espace et les matériaux qui est en jeu.
En partenariat et dans le cadre de la 5e édition du festival Teenage Kicks, «Processus Placards Documents» est une exposition autour des pratiques d’affichage libre par les artistes urbains Mathieu Tremblin et Arzhel Prioul (Mardi Noir).
Pour L'aparté, Fabien Gilles oriente sa recherche esthétique autour du pouvoir et de ses représentations. Il en décrypte les signes et codes pour se les réapproprier. Son personnage Fabien Gilles est ici chef de guerre, monarque, homme politique, sans que l'on puisse exactement situer le contexte temporel et géographique.
Fascinée par le pays des couleurs, et attirée par l’esthétisme, Catherine Le Scolan- Quéré cherche à dégager la force de chaque image, plus que son histoire. Les photographies choisies ici ont été prises lors de six séjours en Inde.
Les œuvres entrées récemment dans la collection se font les reflets des bruits de notre monde.
Elles évoquent avec poésie et engagement les questions féministes, écologiques, les notions de repli sur soi et d’enfermement, de luttes ou de conditions sociales.
Les œuvres de Nathaniel Mellors sont pleines d’humour, irrévérencieuses et absurdes parfois, poétiques souvent. L’exposition réunit pour la première fois l’intégralité de la série de films autour de l’Homme de Néandertal produite par l’artiste britannique depuis 2012.
Ancré dans une esthétique photographique saturée et pop, le travail de Louise Mutrel conjugue des icônes populaires d’ici et d’ailleurs. Ses images viennent corrompre de leurs couleurs la façade noire du minimal bâtiment en vis-à-vis du non moins minimal Alignement du XXIe siècle d’Aurelie Nemours.
Pionnière dans le domaine des arts numériques, Vera Molnar conjugue séries et combinatoires.
À l’aide de règles simples, les motifs sériés se répètent, se décalent, s’altèrent. Lignes, formes, courbes, entrelacs, couleurs se déploient ainsi à l’infini, sur de multiples supports.
En parallèle de l'exposition au Musée de beaux-arts, Oniris présente «La ligne n'a pas de fin» qui rassemble des œuvres récentes et d'autres plus anciennes, toutes inédites, dans les deux espaces de la galerie.
Les ouvrières de l'Aigle, les dentellières de Calais et les caissières de Margon. La photographe Olivia Gay tente de redonner un visage, une humanité, à ces visages anonymes d'opératrices que l'on ne voit habituellement pas.