Pour L'aparté, Fabien Gilles oriente sa recherche esthétique autour du pouvoir et de ses représentations. Il en décrypte les signes et codes pour se les réapproprier. Son personnage Fabien Gilles est ici chef de guerre, monarque, homme politique, sans que l'on puisse exactement situer le contexte temporel et géographique.
Fascinée par le pays des couleurs, et attirée par l’esthétisme, Catherine Le Scolan- Quéré cherche à dégager la force de chaque image, plus que son histoire. Les photographies choisies ici ont été prises lors de six séjours en Inde.
Les œuvres de Nathaniel Mellors sont pleines d’humour, irrévérencieuses et absurdes parfois, poétiques souvent. L’exposition réunit pour la première fois l’intégralité de la série de films autour de l’Homme de Néandertal produite par l’artiste britannique depuis 2012.
Ancré dans une esthétique photographique saturée et pop, le travail de Louise Mutrel conjugue des icônes populaires d’ici et d’ailleurs. Ses images viennent corrompre de leurs couleurs la façade noire du minimal bâtiment en vis-à-vis du non moins minimal Alignement du XXIe siècle d’Aurelie Nemours.
Les œuvres entrées récemment dans la collection se font les reflets des bruits de notre monde.
Elles évoquent avec poésie et engagement les questions féministes, écologiques, les notions de repli sur soi et d’enfermement, de luttes ou de conditions sociales.
Pionnière dans le domaine des arts numériques, Vera Molnar conjugue séries et combinatoires.
À l’aide de règles simples, les motifs sériés se répètent, se décalent, s’altèrent. Lignes, formes, courbes, entrelacs, couleurs se déploient ainsi à l’infini, sur de multiples supports.
En parallèle de l'exposition au Musée de beaux-arts, Oniris présente «La ligne n'a pas de fin» qui rassemble des œuvres récentes et d'autres plus anciennes, toutes inédites, dans les deux espaces de la galerie.
Les ouvrières de l'Aigle, les dentellières de Calais et les caissières de Margon. La photographe Olivia Gay tente de redonner un visage, une humanité, à ces visages anonymes d'opératrices que l'on ne voit habituellement pas.
Photographe autodidacte, Madeleine de Sinéty (1934-2011) découvre par hasard durant l’été 1972 le village de Poilley, situé au nord de l’Ille-et-Vilaine. Se liant d’amitié avec plusieurs familles, elle les photographie inlassablement au travail et dans leur vie quotidienne.
Ah ! La persistance rétinienne ! C’est sur ce principe que fonctionne le flip-book. Co-produite par le festival Normandiebulle 2009 de Darnétal, cette exposition explique de façon humoristique comment fabriquer facilement son propre flip-book et pouvoir ainsi briller dans les diners mondains.