La pratique d’Olivia Etienne se nourrit de références à l’histoire de l’art et de l’humanité. La fluidité et le caractère immédiat du trait de fusain ou de pastel lui permettent de faire apparaître des formes qui se superposent, se mélangent et parfois s’effacent.
En détournant l’écriture de sa fonction de lisibilité, elle nous convie à bousculer l’ordre établi, par sa désobéissance aux règles typographiques, elle nous incite à cultiver notre libre-arbitre, lorsque ses lettres se muent en symboles, c’est un encouragement à douter, à voir le monde différemment.
Le Frac Bretagne et l’Opéra de Rennes s’unissent à nouveau et sélectionnent des œuvres issues des collections du Frac Bretagne et du Fonds départemental d’art contemporain d’Ille-et-Vilaine pour les installer dans 4 lieux de l’Opéra : la rotonde, le foyer, la salle et la scène.
Elle sculpte et dessine principalement avec les matériaux textiles. Pour cette exposition, elle pose la question de la construction du paysage bocager sous forme de bas-reliefs en polystyrène recouvert de tissu parfois molletonné.
Morgane Piel, photographe, a un attachement pour l’enfance, ce temps de tous les possibles, où tout est à créer, en ébullition. Ce sont les regards de la conquête de soi. Ceux de l’émotion, de l’euphorie, de la joie, du jeu, mais aussi du défi.
Souvent perçue comme une notion impalpable et éloignée de chacun, la justice peut-elle se réapproprier individuellement? Comment la notion de justice est-elle vécue et à quelle nécessité répond-elle?
Souvent perçue comme une notion impalpable et éloignée de chacun, la justice peut-elle se réapproprier individuellement? Comment la notion de justice est-elle vécue et à quelle nécessité répond-elle?
Les œuvres de Josèfa Ntjam sont des fictions mêlant différents registres d’histoires écrites et orales. Pour son exposition à 40mcube, elle recompose une installation à partir d’œuvres existantes afin d’en repenser l’articulation, de créer un nouvel univers et d’en proposer une autre lecture.
Le corps porte un message social et politique. Qu’il reste en suspension lors d'une Chute, ou lévite entre les rayonnages de l’hyper consommation, il défie l’environnement urbain et s’extrait d’une réalité trop matérialiste. Denis Darzacq met en forme une énergie libératrice qui circule de ses modèles à nous, pour faire corps.
Arrivant à Tokyo, Didier Gautier est frappé par la capacité des japonais à intégrer leurs traditions à la modernité. Cette exposition témoigne d’une exploration initiatique de la culture nippone au cours d’un voyage de 4 semaines au printemps 2018.
