Le voile du palais propose d’explorer le rapport entre voix et technologie, qu’elle soit organique ou mécanique. Il s’agit de considérer la voix comme technologie du corps et, en partant de la part d’artificialité résidant dans ce qui semble le plus naturel, l’enregistrement et l’amplification comme technologie de la voix.
C’est déroutant chaque fois, la manière dont chaque prise de vue se développe. Un délicieux processus qui mélange de la prévoyance et du hasard. C’est inattendu, le rendu de chaque photo, l’émotion qui s’en dégage...
Exposition à découvrir à la Mezzanine (bât. O-Le Tambour, 1er étage)
Exposition collective des 4 animateurs de l'atelier d'arts plastiques de Bruz : peintures, sculpture, peintures numériques, laques et peintures sur toiles d'araignées.
Brice Aulin, Lydie Chamaret, Julien Duporté, Pierre Galopin et Sarah Lück réactivent, revisitent et explorent des savoir-faire, détournent des objets, des techniques, ré emploient des matériaux délaissés.
Objet esthétique, le modèle n’en est pas moins et avant tout pédagogique avec pour vocation de diffuser des connaissances. Il s’agit de rendre accessible les coulisses de l’anatomie des plantes et des animaux en trois dimensions.
Cet hiver, Les ailes de Caïus et la galerie Net Plus accueillent l’exposition « Comme seul », une carte blanche donnée à Denis Orhant pour constituer une exposition collective. Le peintre a invité quatre artistes rennais à exposer avec lui, rassemblant des pratiques diverses et une rencontre entre leurs cinq univers.
Avec Le centre de désenvoûtement du capitalisme, Anaïs Touchot propose une puissante méthode qui contribue au succès et au bonheur de chacun d’entre nous. Une thérapie en plusieurs étapes qui se joue entre autres des codes de l’économie libérale ou du bien-être au travail.
Artiste associé à la saison culturelle de l'université, The Blind s'intéresse ici aux invisibles. Migrants, SDF, crackheads. Il a arpenté les rues avec le photographe Mathias Bones pour rendre visibles les oubliés.
En créant de petites saynètes signifiantes, l'artiste propose au regardeur un point de vue personnel sur des espaces rêvés, souvenus et reconstitués. Elle invite les visiteurs à se plonger avec tendresse dans des lieux encore hantés par les humains qui les ont désirés, bâtis puis habités.
L’exposition qui donne envie de faire des fanzines. Elle retrace l’histoire du mouvement, tout en abordant les problématiques de diffusion, d’évolution des techniques de reproduction, notamment, et leurs incidences. Avec les établissements Bollec.
