Soit vous avez envie de découvrir une adresse qui fait le buzz, soit vous voulez manger simple et sain mais créatif. Dans les deux cas, vous pouvez allez chez Fezi dont la cuisine du marché fait merveille. De bons produits du terroir, entre terre et mer avec un penchant pour le circuit court, une cuisine de saison et toujours cette pointe de créativité qui sublime le plat. Poulpe/poivrons fumés/basilic. Cocos/moules/tomates cerises. Lotte/céleri/champignon/café. Rhubarbe/fraise/pets de nonnes… Et à chaque fois, le bon petit vin qui va bien. Avec un excellent rapport qualité-prix.

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C’est quoi ? Une crêperie qui vous change de la crêperie ! La nouvelle adresse de Bertrand Larcher, face à une autre adresse incontournable de Saint-Malo intra-muros, la Maison du beurre de Jean-Yves Bordier. Pourquoi y aller ? Parce qu’ici tous les produits sont sélectionnés avec une extrême rigueur et qu’on peut y déguster la meilleure galette andouille-œuf bio-comté au monde. On peut (aussi) s’y poser pour se partager des amuse-galettes et goûter l’un des 60 cidres à la carte. La crêperie gastronomique. Autre adresse, 7 quai Thomas, à Cancale.

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Ça n’est pas parce qu’on est populaire qu’on n’est pas bistronomique ! Ouvert sur la rue piétonne Saint-Melaine, ce qui permet une terrasse, le Café Populaire est devenu une institution lorsqu’il s’agit de trouver à la fois simplicité, convivialité et bons petits plats. Une carte simple. Des entrées savoureuses, le poisson du jour – toujours parfaitement cuit et bien accompagné –, une viande, un gratin, le fameux burger de la maison. Et le non moins célèbre pain perdu caramel au beurre salé maison. Le tout à prix tout doux. So, we have to go !

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Ici, on vante d’abord l’ambiance conviviale créée dans ce lieu par Aymeric Krämi lorsqu’il est rentré de Paris (Epigramme). C’est ambiance bistrot jusqu’au bout. Proximité des tables et chaises en bois, cuisine ouverte en fond de salle et porte sur le boulevard de la Liberté. Liberté dans les assiettes aussi. La carte est courte en réponse à l’affluence nombreuse. Asperges à l’œuf mollet, salade de bonite marinée, assortiment d’entrées à partager. On poursuit avec la poitrine de poulet et son risotto de sarrasin décidément très tendance. Magret de canard rôti asperges et patate douce, pavé de lieu jaune rôti légumes printaniers… Des assiettes simples mais un service rapide et avec le sourire.

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À la base, Otonali était l’izakaia (auberge en japonais) qui communiquait avec le Comptoir Breizh Café, rue de l’Orme. Mais on connaît la passion de Bertrand Larcher pour la Bretagne et le Japon et puisqu’ il fallait pousser les murs des deux côtés, il n’a pas hésité à installer Otonali sur le quai Duguay-Trouin. C’est donc devenu un restaurant japonais abordable mais d’exception. Yasu Hayashi, le chef, était le second de La Table Breizh Café (1 étoile) à Cancale. Il cuisine donc japonais à partir de produits bretons. Les assiettes sont magnifiques et l’ins- piration du chef fait merveille. On y retrouve des classiques mais aussi des recettes réinterprétées. Superbe et zen, le lieu vous transporte au Japon.

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Romain Roland a pris les commandes des fourneaux il y a un an. Le chef de 41 ans a gagné son expérience dans des établissements tels que Le Royal Monceau, Le Josefin ou encore la Casa di Mar, à Lumio, en Corse. Son travail a été récompensé par une première étoile au Michelin, en 2020. Quand on s’attable dans ce restaurant, en bas de la rue de la Corniche, on garde les yeux ébahis face à la vue splendide sur la baie du Mont Saint-Michel. Les épices du chef savent épouser les produits de saison. Et sa fibre méditerranéenne se ressent lorsqu’on déguste le bar confit à l’huile d’olive, accompagné de thym et de citron. Une petite escale à la mer, de la Côte d’Émeraude à l’Île de Beauté.

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La plage des étangs se trouve à cinq minutes à pied. Entre deux séances bronzette, le café-restaurant Les Terrasses d’Apigné nous accueille sept jours sur sept pour profiter d’une pause fraîcheur. Sous les arbres, avec vue sur l’eau, on ressent l’atmosphère des vacances en se désaltérant autour d’un verre. Un petit creux ? Une sélection de pizzas, pâtes, plats du jour et salades. Si l’endroit peut être pris d’assaut au cœur de l’été, les 120 places de l’établissement permettent généralement de s’attabler sans tracas. Quid de l’accès ? Un parking se trouve juste en face des Terrasses, et l’API Bus vous dépose à deux pas ! Mais le plus agréable est sans doute d’y venir à vélo, en se lançant dans une douce balade le long du chemin de halage.

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C'est quoi ? Un bar à jus, une cantine sur place ou a emporter. Une adresse devenue branchée sur la place de la Rotonde.
Pourquoi y aller ? Je ne sais pas si c'est l'extrême modestie et la simplicité du décor, l'accueil des filles… toujours est-il qu'on s'y sent bien. On peut y venir à toute heure de la journée pour un café d'exception, un jus de fruits et légumes frais, pour déguster ou emporter le plat du jour. C'est végétarien mais ici le végétarien n'est pas triste. Plutôt créatif et gourmand. Vous reprendrez bien un peu de dessert ?

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Après les nouveaux établissements, on a décidé de revenir aux sources, aux Darons. Parce que c’est un classique de la rôtisserie doublé d’une épatante adresse de la bistronomie rennaise. Vincent Guillemot, ex Tête de lard et L’Adresse, a ouvert ce nouvel établissement il y a un peu plus d’un an dans un bel espace cosy et convivial. C’est un restaurant à l’ardoise qui varie en fonction de l’humeur du jour et des produits. Échine de porc oignon-cumin / écrasé de pommes de terre / embeurrée de choux verts, cabillaud à la plancha / crémeux de céleri / quinoa rouge / beurre d’algues… Des desserts maison comme on les aime : riz au lait aux agrumes, pain perdu au chocolat avec mousse au chocolat, poire rôties / financier chocolat et glace. La formule du midi à 18 € est imbattable !

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C'est quoi ? Un bistrot de quartier où l'on se presse pour déguster la cuisine du jour.
Pourquoi y aller ? On aime l'atmosphère de ce lieu qui a conservé son décor d'épicerie et le carrelage d'Odorico. On y est accueilli avec une pointe d'humour pince sans rire. Et dans l'assiette, c'est une authentique cuisine de bistrot, simple, maison et renouvelée chaque jour. Croustillant de blanquette de veau, crème de cresson, rizotto ou filet de cabillaud à l'estragon. Sans oublier les desserts à dégustrer toute la journée en version salon de thé. Il est prudent de réserver pour déjeuner.

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